Amatos : rencontre du type inconnu^^
Amato s’assoit au milieu des différents aschens, attendant d’en apprendre plus sur le nouveau membre du clan. Il tira une longue bouffée de sa pipe et un jeune abra pépia à coté de lui, agitant dangereusement ces frêles branches.
« Je pense que vous voulez savoir comment je me suis acoquiné cet embrassant compagnon d’aventure, demanda Amato de sa voix douce. »
L’assemblée acquiesça, et Amato commença son histoire.
« Comme je vous l’ai déjà dit, j’ai passé ma jeunesse a gardé le troupeau de bouftous de mes parents à l’orée de la forêt des Abraknydes. Un jour, je surveillais de loin le troupeau, m’entrainant une fois de plus à invoquer des bouftous en vain, je fis la malheureuse rencontre des Abraknydes qui vivaient dans la forêt. C’été une belle matinée de printemps, fraiche mais radieuse et je tentais vainement de faire apparaître un bouftou, la forêt derrière moi. Ce fut ma première erreur, car des Abraknydes m’observaient depuis la lisière de la forêt et profitèrent de mon inattention pour m’attaquer par derrière. Je ne vis rien venir, et quand les ténèbres fondirent sur moi, je n’eux pas même le temps de dire ouf. Quand je me réveilla, je me retrouvais grossièrement enchainé à un arbre massif, avec une assemblée d’abraknyde en train de se disputer pour savoir a quelle sauce me dévoré. Je me mis à me débattre en silence, espérant pouvoir filer en douce alors que les premières branches commençaient à voler autour de moi. Mais un abraknyde sombre se posa à coté de moi, son regard me dardant avec une telle envie que toute intention de faire le moindre mouvement disparut instantanément. L’Abarknyde sombre grogna, et tout ces congénères se mirent à me regarder avec intensité. Alors que les Abraknydes se rassemblaient tous autour de moi, deux dragounets roses débarquèrent dans la clairière, crachant des flammes tout autour de moi. Une partie des Abraknydes se détournèrent de moi et se mirent en position contre les attaquants. Mes parents surgirent alors d’une trouée de la clairière, utilisant leurs griffes et leurs frappes pour décimer les Abraknydes. Mais ma situation ne s’arrangeait pas, car les Anbraknydes restant c’été divisé en deux groupes : un se dirigeant vers les dragounets, un se dirigeant vers moi avec la ferme intention de déguster de la cuisse d’osamoda. Alors que je pouvais sentir les premières gouttes de baves des Abraknydes, une petite créature, à peine différente des autres Abraknydiens surgit des bois et libéra Amato. Je me redressa instantanément et utilisa sa griffe spectrale pour se débarrasser des Abraknydes, aidé par la petite créature. Mes griffes fusèrent, fendant l’air et le bois nauséabond des arbres vivants. La petite créature, quand à elle attaqué avec ces petits mais puissant bras, prenant par surprise ces congénères. J’en abattis quelque uns, aidé par les tofus de mes parents et de leurs dragounets mais la petite créature fit aussi des dégats conséquents. Lorsque les derniers Abraknydes battirent en retraite mes parents s’approchèrent de moi.
« Comment vas-tu mon fils ? »
« Bien, bien. »
« Tu aurais du être plus attentif, te faire surprendre par des Abraknydes, c’est quand même un peu fort !!! »
Je rougis légèrement, les remarques de mes géniteurs blessant mon ego au plus profond de lui-même. Heureusement ils reportèrent rapidement leur attention sur la créature qui m’avait sauvé.
« J’avais entendu parlé de ce genre d’être qui se retourné contre les leurs, mais c’est la première fois que j’en vois un sauvé un innocent. »
« Alors on fait quoi de lui, demandais-je ? Je peut le garder ? »
« Est-ce bien raisonnable, tu as du mal a invoqué des bouftous, alors dresser un jeune abra, remarqua ma mère. »
« Ce sera un défi intéressant, répondit mon père. Je te le confis, mais il va falloir que tu sois digne de cette charge. »
Malgré les récriminations de ma mère, Brindille vint avec nous et partis ainsi part à mes aventures. »
« Quand à la suite mes amis, ce sera une autre fois. »
Amatos se leva et se retourna, disparaissant dans la nuit, Brindille trottinant derrière lui.